(...)Zalez s'inscrit dans une école de design à Montpellier dans un premier temps, puis d'arts plastiques aux beaux arts de Toulouse, mais très vite, il se sent à l'étroit, mal compris, et jugé. Il décide alors de faire sa route tout seul (...) Alors qu'il est encore aux beaux arts, Zalez compose des Haïkus (petits poèmes) sur le thème des saisons. Grâce à des pochoirs, il les inscrits sur les murs de sa ville (...) Aujourd'hui la technique du pochoir permet à l'artiste de créer toutes ses oeuvres sous une forme unique et facilement reconnaissable. Il utilise une plus grande variété de supports. L'artiste intègre également dans son oeuvre des photographies. Lorsqu'on découvre une photo de Zalez, on se questionne : est-ce de la photographie ; est-ce une installation; est-ce une forme de Land art ? Zalez joue avec les codes usuellement appliqués à l'art, il décloisonne tout et s'exprime, libre de tous carcans. Son travail photographique ne ressemble à aucun autre, il témoigne de ses interventions dans la nature. Zalez détourne ses propres oeuvres de leur contexte habituel : le milieu urbain, pour les installer dans la nature. Il crée une rupture, un choc visuel percutant. Sandrine Vila

Mon travail ce situe dans la continuité du Pop Art du Street Art et du Land Art. J’aime jouer avec les différents codes et médiums.

Je trouve la plupart de mes thématiques en observant les gens dans la rue, que ce soit en France ou à l’étranger.